Lydie n’aurait pu débuter son activité ni Frédéric conserver son emploi s’ils n’avaient trouvé le moyen de se déplacer. La plateforme de mobilité, dispositif porté par le Département, les a aidés à prendre la route.
Lydie Billie, 39 ans, raconte :
« J’habite La Réole et j’ai eu une promesse d’embauche à l’ADMR (réseau associatif d’aide à la personne, ndlr). Mais j’avais besoin de passer mon permis et d’avoir une auto. J’ai obtenu une aide de 800 euros pour mon permis et un microcrédit pour la voiture. »
La plateforme T-CAP, émanation de Cap Solidaire, a tenu son rôle. Même chose pour Frédéric Martin, 47 ans, qui habite Monségur et travaille dans un domaine viticole proche de Sauveterre-de-Guyenne :
« Je prenais un autocar mais la ligne a été supprimée. »
Grâce à T-Cap, il peut louer un véhicule et obtenir un microcrédit, lui aussi, pour acheter une voiture. Clément Bosredon qui dirige Cap Solidaire se réjouit :
« Nous accompagnons plus de 450 personnes par an jusqu’au bout de leur parcours. »
Quand mobilité rime avec stabilité et pérennité.
Découvrez l'accompagnement du Département dans le GIRONDE MAG N°135